"Ça pleure au téléphone et après ça coupe" : Dadju raconte avec émotion comment ses enfants ont vécu le séisme chez eux au Maroc
Dadju s'est confié sur la façon dont il a appris le terrible tremblement de terre qui a frappé le Maroc le 8 septembre dernier. Une véritable angoisse pour le chanteur qui était en France alors que sa famille était elle à Marrakech.
Le 8 septembre dernier, un séisme d'une magnitude de 6.8 sur l'échelle de Richter a frappé de plein fouet le Maroc, touchant particulièrement les zones d’Al Haouz et de Taroudant. Le bilan est lourd pour le pays du Maghreb, puisque les autorités ont compté jusqu'ici la mort de plus de 2900 personnes et de 5 530 blessés. Il s’agit du plus violent séisme qu’ait connu le pays depuis un siècle.
Présent dans l'émission En Aparté diffusée sur Canal+ ce mercredi 13 septembre, Dadju est revenu sur ce terrible drame. Le chanteur était directement concerné, puisqu'il vit la majeur partie de l'année à Marrakech avec sa femme, ses enfants et la famille de son frère Gims. Au moment du tremblement de terre, l'artiste de 32 ans était présent en France pour donner un concert. Par conséquent, l'interprète de Jaloux a imaginé le pire lorsqu'il a appris la nouvelle en sortant de scène : "Ça m’a peiné. Ça m'a fait mal au cœur de plusieurs manières différentes. Déjà, quand on a appris la nouvelle avec Gims, on était en tournée. On a appris la nouvelle en sortant de scène. On sortait de scène et les premières phrases qu’on entend c’est : « Il y a eu un gros séisme au Maroc. On n'arrive plus à avoir les enfants ». Ils étaient à la maison au Maroc, à Marrakech. On n'arrivait pas à les joindre et on n'avait pas de réseau. Quand on les appelle, ça pleure au téléphone et après ça coupe. C’était une angoisse d’au moins 40, 45 minutes avant de retrouver le réseau et de pouvoir entendre les explications."
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Fort heureusement pour Dadju, sa famille et celle de son frère Gims sont ressorties indemnes du drame : "On a pris le premier avion, on est retourné à la maison et on a vu les dégâts. On a vu ce qu'il se passait. On a vu les gens à la rue, qui dormaient...
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