À Hanoï, le chat à la carte est le roi de l’apéro

«Nous mangeons de la viande de chien à la fin du mois lunaire, le chat c’est pour le début du mois», a expliqué à l’AFP To Van Dung, gérant d’un des restaurants de Hanoï (Vietnam) qui affichent au menu des plats à base de matou. Bien moins répandue que la viande de chien, achetable à n’importe quel coin de rue, la viande féline est très appréciée par certains Vietnamiens, surtout à l’heure de l’apéritif, bien qu’officiellement interdite par la loi. Les exemplaires vivants sont précieux, se négociant autour de 30 euros la pièce. Mais dans l’absence d’une filière d’élevage qui puisse certifier la traçabilité de la viande, aujourd’hui les animaux proviennent surtout du vol. D’ailleurs, les propriétaires préfèrent enfermer les animaux chez eux. A Hanoï il n’y a pas un chat dans la rue, mais quelques-uns dans les poêles.

Retrouvez cet article sur Liberation.fr

La menace du virus Ebola s'étend encore
Lycéennes enlevées au Nigeria : «Nous ne les oublions pas»
Gaza : la France va verser une aide de 8 millions d'euros
L'équipage du vol Air Algérie a demandé à rebrousser chemin
Entre Gaza et Israël, une trêve brisée dans le sang