Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire et l'eurodéputé Yannick Jadot étaient les invités de « Vous avez la parole » jeudi soir sur France2.
Sommet virtuel sur le climat, déjeuner entre Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky, voyage du Premier ministre japonais à Washington? Toute l?actu du jour.
Un député canadien a dû s'excuser après être apparu nu devant le Parlement canadien lors d'une visioconférence ce mercredi.
La Cour suprême du Brésil a pris jeudi une décision très favorable à Luiz Inacio Lula da Silva en confirmant l'annulation des condamnations pour corruption de l'ex-président de gauche, le rendant éligible pour la présidentielle de 2022.
L'élu, qui pensait visiblement qu'il s'agissait de bateaux à moteur, s'est ensuite excusé sur Twitter.
Le vaccin AstraZeneca sera accessible ce week-end pour les enseignants, les policiers et les gendarmes de plus de 55 ans, annonce le Premier ministre Jean Castex. Le syndicat des enseignants Unsa demande plus de transparence.
L'objectif de rouvrir les terrasses, lieux culturels et les commerces le 15 mai prochain a été maintenu par Emmanuel Macron, à l'occasion d'une réunion avec des maires ce jeudi. Mais comment va s'organiser cette réouverture du pays, qui s'annonce progressive?
Emmanuel Macron a évoqué jeudi 15 avril devant des maires une première phase de réouverture des terrasses et des musées à partir de la mi-mai. L'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie (Umih) demande des précisions sur les dates.
"Des menaces sérieuses" pèsent actuellement sur les intérêts français alors qu'un groupe extrémiste, le TLP, appelle à la rupture des relations diplomatiques avec Paris.
Carrière, vie amoureuse, anecdotes... Yahoo vous propose de parcourir, en images et en 1 minute, les moments forts de la vie de Kendall Jenner.
Dans un entretien accordé à plusieurs quotidiens européens dont le journal Les Échos, le patron de Pfizer Albert Bourla "pense" qu'un retour à la vie normale est possible à l'automne prochain en Europe.
"Vous nous reprochez d'agir", a aussi lancé l'eurodéputé EELV face au ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, jeudi soir sur le plateau de "Vous avez la parole", sur France 2.
Dans une lettre adressée au président américain Joe Biden, Jair Bolsonaro, président du Brésil, promet de mettre fin à la déforestation illégale en Amazonie d'ici 2030. Un objectif essentiel alors que la déforestation de la forêt amazonienne ne cesse de progresser.
Le chef de l'Etat s'entretenait avec une quinzaine de maires, jeudi soir, et a aussi confirmé la réouverture aux dates prévues des établissements scolaires.
Un homme de 34 ans a été condamné à dix mois de prison ferme après avoir expédié des menaces de mort par courriel à 42 députés dont le nom commençait par la lettre C ou M. Il a plaidé le piratage informatique, sans convaincre.
Certains prêts garantis par l'État pourraient être transformés en subventions. Les décisions se prendront par département, au cas par cas. Le défi du gouvernement ? Défendre l'emploi et la créativité, sans pour autant créer d'injustice entre les entreprises.
Alors qu'une majorité d'employés d'Amazon a voté contre la création d'un syndicat sur un de ses sites logistiques aux Etats-Unis, le patron du géant américain, Jeff Bezos, a estimé que son entreprise devait "faire mieux" pour ses salariés. Jeff Bezos a fait cette déclaration dans sa dernière lettre annuelle aux actionnaires.
Le maire de Charleville-Mézières Boris Ravignon a participé à la visioconférence présidée par Emmanuel Macron jeudi 15 avril avec une quinzaine de maires. Le chef de l'État "s'est livré à une présentation d'une réouverture par phases, avec beaucoup de prudence".
Quatre mineurs ont été mis examen jeudi après la rixe entre deux bandes d'adolescents début mars à Champigny-sur-Marne, dans le Val-de-Marne. Au cours de cet affrontement, deux jeunes de 14 et 16 ans avaient été gravement blessés. Un adolescent de 16 ans est poursuivi en particulier pour tentative de meurtre.
Le chef de l'État, Emmanuel Macron, s'est fixé l'objectif de la mi-mai pour rouvrir progressivement les espaces qui accueillent du public. À Chantilly, dans l'Oise, les professionnels se préparent, en espérant ne pas être déçus.
Fin mars, Emmanuel Macron avait annoncé la réouverture "avec des règles strictes" à partir de la mi-mai des terrasses de bars et restaurants et de certains lieux culturels.
Le 14 août 2017, le conducteur, David Peterson, avait tué une adolescente de 13 ans et blessé grièvement douze autres clients du restaurant.
Pour attirer les visiteurs, l?exécutif local a lancé une campagne dite des « 3V » : « visite, vaccin et vacances », détaille « Courrier international ».
Depuis quelques mois, les médecins des soins intensifs brésiliens voient de plus en plus de patients jeunes arriver dans leurs services. Un patient sur deux à moins de 40 ans. Le nouveau variant brésilien, dit P1, plus contagieux, semble prendre pour nouvelle cible, plus jeune, sans antécédent médicaux. Mais pourquoi ? En mars dernier, dans les services de réanimation brésiliens, plus d'un patient sur deux avait moins de 40 ans. Cette donnée recueillie par l'Amib, l'Association brésilienne des médecins de réanimation, fait froid dans le dos. Désormais prouvé plus contagieux, le variant brésilien dit P1 du Covid-19 fait chaque jour des victimes plus jeunes, sans antécédents médicaux.Entre janvier et mars, selon le dernier bulletin de l'Observatoire du Covid-19, le nombre de morts a fait un bond de 353 % parmi la tranche d'âge 30-39 ans.Au siège de la Fiocruz, l'équivalent de l'Institut Pasteur au Brésil, ou dans le cabinet médical de Margaret Dalcolmo, chef pneumologue coordinatrice de l'étude sur le variant, pas une journée ne passe sans recevoir un chiffre, une donnée alarmante… et une question toujours en suspens : pourquoi le variant fait-il plus de victimes chez les jeunes ? Margaret Dalcolmo et ses collègues ont déjà quelques pistes : "Le profil des patients gravement atteints a changé, d'abord parce qu'avec l'évolution de la pandémie et l'absence de confinement, on voit de plus en plus de jeunes dans les rues. Ce sont eux qui doivent aller travailler et qui ne supportent plus l'absence de vie sociale, alors ils se rejoignent dans les bars. C'est facile de dire aux jeunes Brésiliens 'Restez chez vous', mais si on ne leur en donne pas les moyens, avec 20 % de la population en-dessous du seuil de pauvreté, il faut qu'ils sortent pour gagner leur vie", insiste la spécialiste. En somme, ce n'est pas que le nouveau variant préfère les jeunes, mais ce sont les jeunes qui sont à l'extérieur, et donc plus exposés.Les allocations mensuelles du gouvernement mises en place depuis le début de la pandémie, d'environ 50 euros par foyer, sont depuis le début trop faibles pour subvenir aux besoins des familles les plus modestes. Face à cette situation, les familles tentent de s'organiser : les grands-parents restent à la maison pour s'occuper des petits-enfants, pendant que les parents se retrouvent dans la rue et s'agglutinent dans les transports en commun, à la recherche d'un travail, la plupart du temps informel.Le confinement impossibleLe confinement est, depuis le début de la crise au Brésil, une équation impossible. Le président Jair Bolsonaro refuse toujours de le mettre en place à l'échelle nationale. Ce sont donc les gouverneurs des États et les maires qui décident par eux-mêmes. Avec ce confinement à la carte, dans un pays continental de 27 États, impossible d'avoir une politique sanitaire homogène et cohérente : lorsque Sao Paulo, la capitale économique, se barricade, Rio de Janeiro, de l'autre côté, rouvre progressivement ses bars et ses restaurants jusqu'à 21 h depuis le week-end dernier.Dans les rues du centre animé de Lapa, cœur de la fête à Rio, après 14 jours de fermeture forcée, les policiers de la brigade civile patrouillent entre deux terrasses bondées, le regard inquiet. "Cette réouverture, je pense que c'est ça qui fait que la pandémie gagne du terrain", avoue le sous-inspecteur Gama. Ces 14 derniers jours, avec ses équipes, le policier a contrôlé plus de 17 000 bars, réunions et fêtes clandestines."On sait que le virus est là, mais on ne peut pas arrêter de vivre"Sur le compte Instagram @Brasilfedecovid ("Le Brésil empeste le Covid"), qui rassemble plus de 400 000 abonnés, les vidéos de fêtes électroniques dans des salles bondées ou sur des bateaux sont régulièrement postées. Comme si ces jeunes fêtards souhaitaient défier ce virus qui les a empêchés de profiter du carnaval et de leur jeunesse sous le soleil.Sur la plage de Rio désertée de ses vendeurs habituels, sous le soleil d'avril, quelques jeunes surfeurs de la favela de Babilonia, nous confirment : "On ne peut pas arrêter de vivre. On risque déjà notre vie à cause des balles perdues ou des descentes de flics, et il faudrait rester en plus chez nous, à crever la dalle, sans vivre ou profiter de la mer juste en bas ? On sait que le virus est là, mais on ne peut pas non plus mourir chez nous".Car c'est bien cela qui inquiète la pneumologue Margaret Dalcolmo et ses confrères : les jeunes ont tendance à prendre un peu trop à la légère des symptômes éventuels. Ils finissent par arriver aux urgences parfois beaucoup trop tard. Beaucoup craignent que le nombre de décès – déjà alarmant – recensé en milieu hospitalier ne cache une autre réalité dramatique : que de plus en plus de Brésiliens, par désinvolture ou par peur de se rendre aux urgences, ne meurent chez eux.
Amandine Soave, 34 ans, a été reconnue coupable d'avoir tenté d'éliminer Jimmy C., son ancien conjoint, notamment en enrôlant un tueur à gages.