Le Danemark renonce définitivement au vaccin AstraZeneca contre le Covid-19 à cause de ses effets secondaires "rares" mais "graves", ont annoncé mercredi ses autorités sanitaires, faisant du pays scandinave le premier à l'abandonner en Europe.View on euronews
La petite-fille du duc d'Edimbourg, disparu vendredi, lui adresse un message sur Instagram dans lequel elle partage des souvenirs d'enfance.
Les terrasses des bars et restaurants belges rouvriront le 8 mai prochain.
Un reportage de la BBC dévoile la situation sanitaire alarmante du Brésil, où des patients de plus en plus jeunes sont atteints de formes graves du SARS-CoV-2. Plus de 350 000 personnes en sont mortes, pour l’heure, dans le pays.
Le politologue était entendu mardi comme témoin dans le cadre de l'enquête pour des agressions sexuelles dont l'accuse son beau-fils lorsqu'il était enfant. Les faits avaient été révélés en janvier dans le livre de sa belle-fille Camille Kouchner, "La Familia grande".
Il s’appelle Maxim Egorov, mais on le surnomme le "Forrest Gump" russe. En une année et trois mois, il a relié, en courant, Saint-Pétersbourg à Vladivostok, soit l’équivalent de 10 000 kms.View on euronews
L’institution attend 50 millions de doses supplémentaires contre le covid-19.View on euronews
L'exécutif a suspendu mardi les vols entre le Brésil et la France en raison des inquiétudes autour du variant P1 du Covid-19.
Les vaccins contre le Covid-19 pourraient provoquer une hypertrophie des ganglions lymphatiques et fausser les résultats des échographie mammaires.
Bernard Madoff, auteur de la plus grande escroquerie financière de l'histoire, est mort en prison à l'âge de 82 ans, selon plusieurs médias américains, mercredi. Il purgeait une peine de 150 ans de prison.
Le Danemark avait été le premier État européen à suspendre la vaccination anti-Covid avec les doses du laboratoire AstraZeneca. Il a décidé mercredi d'abandonner définitivement ce vaccin dans la lutte contre la pandémie. Le Danemark renonce définitivement au vaccin AstraZeneca contre le Covid-19 à cause de ses effets secondaires "rares" mais "graves", ont annoncé mercredi 14 avril les autorités du pays, qui devient le premier à l'abandonner en Europe.Malgré les avis du régulateur européen et de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) favorables à son usage, "la campagne de vaccination au Danemark continue sans le vaccin d'AstraZeneca", a indiqué le directeur de l'Agence nationale de santé, Søren Brostrøm, lors d'une conférence de presse.Les quelque 150 000 personnes qui ont reçu une dose du sérum vont se voir proposer un autre vaccin pour leur seconde dose, selon les autorités.Parmi les injections du vaccin AstraZeneca réalisées, deux cas de thrombose grave – dont un mortel – avaient été relevés au Danemark chez des personnes jusqu'alors en bonne santé.Une enquête approfondieLe Danemark avait déjà été le premier pays en Europe à avoir suspendu l'utilisation du vaccin le 11 mars, après des rapports décrivant des cas exceptionnels de caillots sanguins, combinés à un faible taux de plaquettes et à des saignements.Malgré un avis favorable de l'Agence européenne des médicaments (EMA) à son usage, le pays avait maintenu sa suspension, comme la Norvège voisine, choisissant d'approfondir son enquête sur le lien entre ces quelques cas graves et la vaccination.Si elle a ensuite confirmé le 8 avril un lien avec des cas de thrombose graves mais rares, l'EMA avait estimé que les bénéfices du vaccin l'emportaient toujours sur les risques.Allongement du programme de vaccinationLa majorité des pays européens qui avaient suspendu l'utilisation du vaccin l'ont reprise, le plus souvent en fixant une limite d'âge.Ailleurs, l'Afrique du Sud y a aussi renoncé en février car son efficacité est mise en doute face au variant qui ravage le pays. Les États-Unis, tout comme la Suisse, ne l'ont toujours pas autorisé, et le Venezuela a refusé de l'autoriser en invoquant ses effets secondaires.L'abandon du vaccin signifie un rallongement de trois semaines au moins du programme d'immunisation danois, qui prévoyait la vaccination de tous les plus de 16 ans pour le mois de juillet.Avec AFP
Un ouvrage lève le voile sur les services de renseignements du Vatican et raconte quelques-unes des opérations secrètes qu?ils ont conduites depuis 80 ans.
Un nouveau Premier ministre, Claude Joseph, a été nommé ce mercredi. Sa mission : s?attaquer à l?insécurité dans ce pays en crise, marqué par des enlèvements de religieux.
Un texte de réforme de la justice, qui prévoit notamment la généralisation des cours criminelles départementales sans jury populaire, est présenté ce mercredi en Conseil des ministres.
Ces nouvelles mesures signifieront "des restrictions supplémentaires pour les déplacements" mais aussi "des mesures plus contraignantes à l'isolement pour les personnes qui arriveraient sur notre sol depuis ces pays".
"La campagne de vaccination au Danemark continue sans [ce] vaccin", a annoncé l'autorité sanitaire locale. Cette décision s'appuie sur l'existence de cas "rares" mais "graves" de thromboses.
Les ravisseurs se sont fait passer pour des représentants de la protection de l'enfance. Selon le procureur, la fillette pourrait être accompagnée de sa mère qui "n'avait pas le droit de la voir seule".
La région Normandie et la SNCF ont annoncé mercredi l'expérimentation durant trois mois, entre avril et juin, de trains roulant au colza sur la ligne Paris-Granville afin de réduire l'empreinte environnementale de la compagnie ferroviaire.
Info BFM DICI - Les trois individus connaissaient la victime. Un SDF d'une trentaine d'années avait été retrouvé ligoté et roué de coups sur le chemin du Cousson.
Les deux derniers vols de la compagnie Air France en provenance de Sao Paulo et de Rio de Janeiro ont atterri mercredi matin à l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle. La veille, Paris avait annoncé la suspension des vols entre la France et le Brésil, où le variant P1 du Covid-19 est hors de contrôle. France 24 a suivi ces départs à Rio de Janeiro. Après l'annonce mardi de la suspension des liaisons aériennes entre le Brésil et la France jusqu'au 19 avril au moins, les derniers vols de la compagnie Air France ont atterri mercredi 14 avril, dans la matinée, à l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle.Sous le regard des caméras de télévision, les derniers passagers en provenance du Brésil sont arrivés au compte-gouttes. Tous ont dû faire un nouveau test Covid à l'arrivée en France, même s'ils en avaient réalisé un juste avant leur départ.Aurélien, étudiant en école de commerce en France, était au Brésil depuis un mois. "Nos parents nous ont dit de rentrer immédiatement parce que le Premier ministre français a décidé de suspendre tous les vols à destination du Brésil. Donc on n'avait pas trop le choix, on a pris les derniers billets possibles", a-t-il témoigné auprès de l'AFP.>> À lire aussi : "Test PCR, quarantaine, vaccin... Tour d'horizon des conditions requises pour voyager en Europe"Le secrétaire d'État aux affaires européennes Clément Beaune a indiqué mercredi sur France 2 que la France étudiait des solutions de rapatriement du Brésil pour ses ressortissants, sur des "vols particuliers ou indirects", ainsi que la possibilité de vérifications plus poussées, pour de "petits volumes de passagers", des quarantaines demandées à l'arrivée en France.Olivier, un Français résidant au Brésil, avait son billet de longue date car il a un rendez-vous pour se faire vacciner en France mercredi."C'est un moment de panique un peu injustifié. D'abord parce que ça fait au moins cinq ou six fois que je reviens en dix-huit mois et que c'est la première fois qu'on me demande ce luxe de scrupules", a-t-il réagi."Deuxièmement, parce que la situation au Brésil est grave, mais elle n'est pas aussi grave que le journal (télévisé) du soir le raconte ici. La vaccination au Brésil avance, elle avance plus vite qu'en France. Les précautions sont prises dans les grandes villes, Sao Paulo et Rio, donc on n'est pas au Far West non plus", a-t-il ajouté.Des solutions de rapatriement à l'étudeDepuis le mois de février, la situation sanitaire liée au Covid-19 n'a, en effet, cessé de s'aggraver au Brésil en raison de l'émergence d'un variant local. Appelée aussi P1, cette nouvelle forme du virus est aujourd'hui considérée comme plus contagieuse et plus mortelle.À Rio de Janeiro, le virus se répand à vitesse grand V et la vaccination avance lentement. Selon une récente étude, le vaccin Coronavac, majoritairement inoculé au Brésil, serait bien efficace contre le nouveau variant. Mais seulement 11 % de la population est vaccinée à ce jour. Un taux bien trop faible alors que la Fiocruz, l'équivalent de l'Institut Pasteur au Brésil, vient de détecter plus de 90 nouvelles souches inquiétantes sur le territoire, dont le variant P1."Le Brésil n'a pris aucune mesure d'isolement social""La vaccination à grande échelle doit s'accompagner d'un isolement social. Simplement vacciner ne limite pas la transmission. Et au-delà de cela, le Brésil a permis d'une certaine manière la propagation de ce variant dans le sens où nous n'avons pris aucune mesure d'isolement social et de fermeture des commerces. Si aujourd'hui on ferme les frontières, c'est bien trop tard", explique au micro de France 24 Margareth Dalcolmo, pneumologue et coordinatrice pour Fiocruz.En parallèle, le président Jair Bolsonaro refuse toujours de décréter un confinement national. Des fêtes clandestines ont lieu partout dans le pays, comme à Rio il y a quelques jours. Dans les rues, les bars et les restaurants viennent de rouvrir jusqu'à 21 h."Au début, je suis allée dans les bars, mais au vu de la situation, du nombre de morts qui a augmenté, j'ai vraiment changé mes habitudes. J'ai vraiment fait attention au vu des morts et au vu du nombre de personnes atteintes du Covid-19 et des variants", confie à France 24 Romane LeGal, jeune étudiante française qui a dû écourter son aventure brésilienne.Les décisions du gouvernement brésilien sont prises à contre-temps d'un variant qui touche de plus en plus les jeunes. Dans les services de réanimation, un patient sur deux a moins de 40 ans.Avec AFP
L'entreprise Sewan, qui se porte bien et a déjà recruté 60 personnes en 2021, cherche encore 80 nouveaux collaborateurs dont Marlène Delrue, DRH, a décrit les profils-types au micro de "La France bouge", mercredi sur Europe 1.
L'écrivaine Ariane Fornia avait publié un article sur son blog dans lequel elle décrivait une agression sexuelle commise sur elle par un "ancien ministre". Il l'avait ensuite poursuivie pour diffamation mais la cour d'appel a finalement rejeté sa demande.
La mère de la fillette, enlevée dans les Vosges, n?avait plus la garde de son enfant depuis janvier, a expliqué ce mercredi le procureur, au lendemain de la disparition.
Thomas Sankara, alors président du Burkina Faso, a été assassiné en 1987. Mais qui a orchestré l’élimination du Che Guevara d’Afrique ? Trente-trois ans plus tard, son successeur à la tête de l’État et “frère d’armes”, Blaise Compaoré, vient d’être mis en examen, explique ce site burkinabé.
L'ouvrage coécrit par l'ex-Premier ministre et son conseiller, mélange de journal de bord sur Matignon et de réflexion sur le pouvoir, s'est vendu à 12.000 exemplaires en une semaine.