Le gouvernement rwandais a annoncé vendredi avoir commué sa peine de vingt-cinq ans pour “terrorisme”.
Ici, pas de silence solennel, typique des sites d'enterrement civils.Pour Mme Mikheïeva, ce cimetière est "différent" des sites d'enterrements civils où la plupart des tombes appartiennes à des personnes âgées "qu'ils ne faut pas déranger".
L’un, Donald Trump, est officiellement candidat à la présidentielle de 2024 et pourrait être inculpé prochainement. L’autre, l’actuel gouverneur républicain de Floride, pourrait annoncer sous peu sa candidature. Pour ce chroniqueur démocrate du “Los Angeles Times”, tous deux représentent un danger pour la démocratie américaine.
Menacé d'inculpation, Donald Trump s'offre samedi son premier meeting de campagne en vue de la présidentielle dans un lieu hautement symbolique, la ville texane de Waco, théâtre il y a 30 ans d'un assaut meurtrier contre une secte opposée au pouvoir fédéral.L'équipe de campagne de Donald Trump n'a pas répondu aux sollicitations de l'AFP quand au choix de Waco pour le meeting.
Plus de 3.000 forces de l'ordre mobilisées d'un côté, 1.500 "activistes violents" attendus de l'autre: la nouvelle manifestation contre les "bassines", symbole des tensions autour de l'accès à l'eau, est placée sous haute sécurité samedi dans les Deux-Sèvres.Jusqu'à 10.000 personnes sont attendues autour de Sainte-Soline, où l'un de ces réservoirs dédiés à l'irrigation agricole est en construction, cinq mois après un précédent rassemblement émaillé d'affrontements.Le chantier, brièvement envahi par des manifestants fin octobre, est protégé par une double rangée de grillage de deux mètres de haut, et ses accès défendus par des barrages routiers.La préfecture a de nouveau interdit la manifestation, organisée par le collectif "Bassines non merci", le mouvement écologiste des Soulèvements de la Terre et la Confédération paysanne.Le ministère de l'Intérieur a mobilisé 3.200 gendarmes et policiers, soit deux fois plus qu'en octobre. Ils sont arrivés vendredi matin en camions militaires, quads ou hélicoptères, ont constaté des journalistes de l'AFP."Il y a une très grande mobilisation de l'extrême gauche et de ceux qui veulent s'en prendre aux gendarmes et peut-être tuer des gendarmes et tuer les institutions", a déclaré Gérald Darmanin sur Cnews.Selon la préfète des Deux-Sèvres, Emmanuelle Dubée, "environ 1.500 activistes radicaux", venus de France et de l'étranger, pourraient se mêler aux manifestants, restés majoritairement pacifiques à l'automne.Des centaines d'entre eux ont déjà mené des "actions" vendredi après-midi, selon elle, s'en prenant à deux barrages de gendarmerie et réussissant à s'introduire brièvement sur une voie de TGV. Une simple "diversion" pour permettre au convoi de tracteurs de contourner le dispositif policier, selon les manifestants.Des armes ont été saisies en amont du rassemblement - boules de pétanque, frondes, lance-pierres, produits incendiaires, couteaux, haches, a détaillé le commandant régional de la gendarmerie, Samuel Dubuis.Le lieu précis de la manifestation était encore flou, les organisateurs ciblant la "bassine" de Sainte-Soline "et/ou" celle qui fonctionne déjà à Mauzé-sur-le-Mignon.- Observateurs -Elles font partie d'un ensemble de 16 retenues, d'une capacité totale d'environ six millions de mètres cubes, qui doivent être construites dans le cadre d'un projet porté depuis 2018 par une coopérative de 450 agriculteurs, et soutenu par l'Etat.Il vise à stocker de l'eau puisée dans les nappes superficielles en hiver, afin d'irriguer les cultures en été quand les précipitations se raréfient. Ses partisans en font une condition de la survie des exploitations agricoles face à la menace de sécheresses récurrentes.Les opposants dénoncent, eux, un "accaparement" de l'eau par "l'agro-industrie" à l'heure du changement climatique, et réclament un moratoire sur leurs constructions pour lancer "un vrai projet de territoire" sur le "partage de l'eau".Le raccordement aux bassines est conditionné à l'adoption de pratiques tournées vers l'agroécologie, mettent en avant les premiers, mais les seconds dénoncent de vaines promesses: le débat a tourné de longue date au dialogue de sourds."Alors que le pays se soulève pour défendre les retraites, nous allons simultanément faire front pour défendre l'eau", ont lancé vendredi les organisateurs, après avoir installé un campement à quelques kilomètres du chantier, sur un terrain privé situé en dehors du périmètre d'interdiction.Des dizaines de tracteurs et des "milliers" de manifestants, selon les organisateurs, sont arrivés vendredi, certains dans des véhicules aux plaques d'immatriculation dissimulées et de nombreux groupes cagoulés et habillés en noir, ont constaté des journalistes de l'AFP.Tendue de longue date dans la région, la situation s'est envenimée ces derniers jours, en dépit d'appels au calme, avec le sabotage d'une retenue d'eau agricole en Charente et le saccage de la maison d'un militant écologiste en Charente-Maritime par des agriculteurs.La semaine dernière, la Coop' de l'eau, qui porte le projet des 16 réserves, a déposé plainte pour dégradations de matériel et "harcèlement" sur les réseaux sociaux, tandis que la justice engageait des poursuites contre le fer de lance du collectif "Bassines non merci", privé de manifestation par une mesure de contrôle judiciaire.Des élus EELV et LFI ont prévu de manifester samedi, ainsi que des observateurs indépendants des pratiques policières mandatés par la Ligue des droits de l'Homme pour "documenter le maintien de l'ordre" durant le week-end.bur-tsq-ppy/gf/lpa
Cinq jours après son triomphe à Indian Wells, le N.1 mondial Carlos Alcaraz a débuté en trombe la défense de son titre à Miami, vendredi, Caroline Garcia (4e) et Ons Jabeur (5e) n'ayant pas évité l'écueil d'une élimination dès leur entrée en lice. Caroline Garcia (4e) a lourdement chuté 6-2, 6-3 face à la Roumaine Sorana Cirstea (74e), qui l'avait déjà éliminée, en huitième de finale à Indian Wells.
Des dizaines de milliers de personnes se sont mobilisées vendredi sur l'emblématique Plaza de Mayo à Buenos Aires et ailleurs en Argentine pour le 47e anniversaire du coup d'Etat de 1976.Selon les organisations de défense des droits humains, quelque 30.000 personnes sont mortes ou ont disparu sous la dictature argentine, de 1976 à 1983. dm/dg/mr/tmt/phs
Paul Rusesabagina, qui a inspiré le film "Hôtel Rwanda" et est un farouche opposant du président Paul Kagame, a été libéré vendredi après que le gouvernement a annoncé avoir commué sa peine de 25 ans pour "terrorisme".Dix-huit autres personnes condamnées pour terrorisme ont aussi vu leurs peines commuées, a-t-elle ajouté.
justice - Karim Tir, 30 ans, avait été tué le 12 juin 2014 devant une station de métro à Asnières
L'actrice américaine Gwyneth Paltrow a assuré vendredi devant un tribunal américain ne pas être responsable de l'accident de ski qui lui vaut d'être poursuivie en justice.L'actrice, qui s'est bâtie une deuxième carrière de gourou du bien-être avec sa marque Goop, a reconnu avoir quitté les lieux de l'accident, car son professeur de ski lui avait dit qu'elle le pouvait.
afrique - L'opposant du président Paul Kagame, qui avait été emprisonné pour « terrorisme », doit rejoindre les Etats-Unis où il réside
Xi Jinping s'est abstenu de fournir des armes aux soldats russes engagés en Ukraine après sa visite à Moscou cette semaine.
Sergueï Tcherkassov, 37 ans, "travaillait comme agent illégal des services de renseignements russes" et avait tenté d'infiltrer la Cour pénale internationale en 2022.
La nouvelle Belgique a séduit et Domenico Tedesco a réussi son examen d'entrée: pour la première du jeune sélectionneur italo-allemand, les Diables Rouges se sont imposés 3-0 en Suède grâce à un triplé de Lukaku, vendredi à Solna en qualifications pour l'Euro-2024.Et si les hommes de Janne Andersson passaient près de l'ouverture du score au quart sur une frappe de Dejan Kulusevski sauvée sur la ligne par Wout Faes, ce sont les Diables Rouges qui avaient la maîtrise du jeu et prenaient logiquemen
À l’occasion de la journée mondiale de la procrastination, tour d’horizon des pistes pour passer de l’inertie à l’action.
Le capitaine et son lieutenant.Le meneur de jeu aux cheveux teints en rose s'est alors immédiatement tourné vers son néo-capitaine pour aller savourer cet apéritif annonciateur de festin.
Quatorze combattants pro-iraniens ont été tués dans la nuit de jeudi à vendredi par des frappes aériennes américaines dans l'est de la Syrie.
Joe Biden a été accueilli vendredi en "grand ami" au Canada pour sa première visite officielle dans le pays, qui a notamment débouché sur un accord concernant le délicat sujet de l'immigration irrégulière.Mais la visite de Joe Biden n'a pas débouché sur une annonce concernant l'éventuel envoi d'une force militaire internationale dans le pays des Caraïbes -- force qui devrait idéalement, selon les Etats-Unis, être placée sous la houlette du Canada.
Le président américain a voulu mettre fin aux rumeurs disant que la Chine avait livré des armes à la Russie pour aider l'armée de Vladimir Poutine dans la guerre en Ukraine.
Les vice-champions du monde ont parfaitement réussi leur entrée dans la course à la qualification pour l'Euro-2024 en surclassant les Pays-Bas (4-0) au Stade de France, notamment grâce à un doublé de leur nouveau capitaine, Kylian Mbappé.
L'ère du capitaine Kylian Mbappé, double buteur, s'est ouverte sur un festival vendredi contre les Pays-Bas (4-0), adversaire diminué et dépassé en qualifications à l'Euro-2024, un lancement idéal pour les vice-champions du monde français au visage rajeuni.La fête s'est terminée sur un quatrième pion signé Mbappé (4-0, 88e) et un pénalty stoppé par Mike Maignan dans le temps additionnel.
Nouvelle manifestation contre les « bassines » dans les Deux-Sèvres, poursuite de la grève et changement d'heure... Toute l'actualité de ce samedi.
Au coeur de la vieille ville de Tripoli, un coup de canon retentit.Le coup de canon permettait alors aux autorités de prévenir les fidèles de l'imminence de la fin du jeûne au soleil couchant.
Quatorze combattants pro-iraniens ont été tués par des frappes aériennes américaines dans l'est de la Syrie dans la nuit de jeudi à vendredi, menées en riposte à une attaque de drone qui a tué un Américain et en a blessé six autres.A plusieurs reprises, la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis a reconnu avoir mené des frappes dans l'est de la Syrie contre des combattants pro-iraniens.
Washington et Ottawa vont « travailler ensemble pour décourager les traversées illégales » de leur frontière partagée, a annoncé le président américain.