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Patrick Bruel se défend d'avoir financé illégalement des tournois de poker

Patrick Bruel se défend d'avoir financé illégalement des tournois de poker

"Je suis très content de reverser une grande partie de ce que je gagne", déclarait la semaine dernière Patrick Bruel au micro de Stéphan Pasquale. L'acteur-chanteur a au passage dénoncé une proposition-phare de François Hollande, l'ISF à 75% pour les très grands revenus. A en croire "L'Express", le chanteur ne paierait cependant pas ses impôts sur tous ses revenus… Le chanteur détient en effet l'équivalent de quinze millions d'euros de Winamax, la principale société de poker en ligne sur le territoire français. Or, ce site Internet aurait "opéré dans des conditions douteuses depuis le Royaume-Uni" avant 2010, révèle "L'Express", qui reproche à Winamax et à ses actionnaires d'avoir échappé au fisc français. Jusqu'en juin 2010, Winamax reversait "une partie des sommes encaissées (…) à sa maison mère, Oxley Properties. Cette holding a d'abord eu son siège dans un paradis fiscal, les Îles Vierges, puis dans un autre pays à la fiscalité accommodante, le Grand-Duché du Luxembourg. En soi, cette localisation n'est pas illégale, mais ses bénéfices peuvent ainsi échapper à l'impôt français. Ce montage a déjà permis à Bruel et à ses associés de placer 1,14 million d'euros au Luxembourg, pour financer l'organisation de tournois", explique "L'Express". Interrogé par l'hebdomadaire, Patrick Bruel s'est défendu d'avoir quoi que ce soit à faire dans les calculs et acquisitions du groupe Winamax : "Je ne suis qu'un actionnaire, ce sont les responsables opérationnels qui connaissent les détails".

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